jeudi 8 décembre 2011

Le prix Notre Dame pour un remarquable engagement au service civique en Amérique Latine, remis au Mgr. Louis Kébreau

             Helen Kellogg Institute for Internationl Studies avec le support de la Fondation Coca-Cola, octoie des prix pour honorer des chefs de file qui se consacrent au service de la société dont l'effet principal consiste à défendre les droits et intérêts des hommes. Créé depuis en l'an 2010, '' le Prix Notre Dame pour un remarquable engagement au service civique en Amérique Latine'', reconnaît les efforts considérables de tous les secteurs de la vie courante, et leur apprécie par le gand titre dont il est question.
Le jeudi 8 décembre, en pleine fête de l'Immaculée Conception, où les fidèles catholiques sont en liesse, la Cathédrale de Cap-Haïtien reçoit dans un climat serein quelques figures emblématiques dont le Rév. Père Timothy R. Scully, CSC, Vielka Guzman, Rév. Père Jean-Baptiste Giordani entre autres, pour la remise du grand prix à la personne de Mrg. Louis Kébreau, l'Archevêque de la Métropole du Nord.
L'heureux prix pour cette année 2011 est remis au Mgr. Kébreau, pour sa fameuse contribution à la promotion du respect des droits de l'homme à Haïti, ce, de 35 ans. Son amour pour la jeunesse à l'instar de Don Bosco, sa prise de position contre la démagogie à Haïti, l'insécurité, la famine, la pauvreté et autres restent les véritables préocupations de ce prélat.
Né en 1938 à Jérémie, d'une famille chrétienne, Louis n'avait aucune intention de devenir prêtre. Réalisé le mauvais comportemnet de la société de son époque, ne voyait qu'une solution celle de prendre le chemin ou de suivre les traces des grands prêtres afin de survoler aux besoins de ses semblables.
Il abandonnait la Faculté d'Agronomie pour celle de la théologie où il devient un brillant combattant contre la pauvreté des hommes du monde, particulièrement ceux de son continent. ''Mgr. Kébreau est un homme profondément intègre,'' dit Caleb E. Lucien, président de Hosan Internationl Ministre en Haïti. '' Il n'a pas peur de prendre position pour la justice ni d'affonter le manque de responsabilité et la corruption avec une sainte colère. Il a une passion pour la vérité et il appelle tous les haïtiens, indépendamment de leurs différences à se donner la main pour faire une vraie différence dans la vie des autres.''
Financé par la Fondation Coca-Cola, le prix est décerné par le Kellogg Institute for International Studies de Université Notre Dame et offre une récompense de $15.000us et un autre montant de $15.000us est décerné à un organisme de bienfaisance recommandé par le lauréat, de manière à faire reconnaitre le travail de ceux qui sont honorés par le prix.
Une fièrté pour l'Eglise catholique, un honneur pour le Cap-Haïtien. Cependant, la population n'en était même pas informé, et sous les auspices de certains blancs se déroulait la grande cérémonie.

8/12/2011
M. BOLIVARD Delcarme 

vendredi 25 novembre 2011

Vertières Indigènes, Vertières MINUSTAH, enfin ''Grenn nan bonda''!

             Combattre l'indignation et rejeter l'idée du système esclavagiste, telle fut l'objectivité des va-nu-pieds qui se consacraient à dérouter l'élan terrible de la plus grande armée européenne de l'époque, menée par le général Napoléon Bonaparte. Du jaillissement de sang dans une lutte, où les machettes et le haches s'instalaient au coeur du combat lié à la désobéissance colérique des blancs, tout autre et rien encore; les noirs se révoltent prenant fièrement la liberté.
Tout à commencé par l'échappatoire glorieuse de valeureux hommes noirs le 18 novembre 1803 en plein début du XIX ème siècle. Une nation est née, une république va s'ériger où la missiopn rageuse rapporte à l'espoir lointaine d'un peuple victime de plus deux siècles sous les railles d'un esclavagiste le plus féroce que le monde n'ait jamais connu. C'est l'accouchement d'une oeuvre héroïque éparse à travers toute l'humanité pour une conviction certaine de liberté à la non soumission du régime colonialiste.
A Vertière, ils ont combattu leur beau combat, à Vertères, ils se defont leur habit pour s'envelopper des lyrs en chantant: ''Vivre libre ou de mourir''. Vertières comme la première porte qui s'ouvre sur la détermination d'une victoire sanglante, est la route où traverse la première des races libres sur la planène. Vertières, respect!
Contrairement aux grandes idées devant placer ce lieu sacré dans le coeur anthousiaste de chaque être haïtien, Vertières encore qu'il advienne sous des décisions contradictoires des représentants incensés; essue l'échec et la honte les plus terrifiants qui échappent de l'esprit humain pour avoir accepté de commémorer la plus belle des victoires négrières, la plus belle histoire mondiale en présence de l'armée étrangère le 18 novembre 2011, où l'armée indigène célèbre son apothéose.
18 novembre 1803- 18 novembre 2011, 208 ans de dirigeants barbares, des hommes sauvages n'agissant que de manière empirique, et c'est ce qui tend considérablement la nation haïtienne à réduire jusqu'à ce qu'elle devienne un territoire sans maitre dans lequel les blancs font des lois au lucre de leur présence.
18 novembre de chaque anné à Haïti ramène sans discusion la fête de la première Institution de la nation, les Forces Armées d'Haïti qui pourtant, ne sont jamais servies un doigt de vin pour ses entreprises, cependant, reçoivent des coupes amères de son demantèllement par l'arrêté du président ''Ti Tigre''. Plus d'une décénie, les Forces Armées d'Haïti, perdent de direction mais, être en veilleuse pour être légalement reconnues. Elles sont bafouées par des décisions terre à terre des hommes politiques avides de pouvoir.
Les blancs nous prétendent assister, sécuriser au dôme de Vertières qui nous appartient à la seule fin du courage de nos héros. Sans armée nous fêtons les 208 èmes anniversaires de cette position glorieuse; sans conviction nous vénérons les Vengeurs des opprimés de la première race noire, sans dignité nous acceptons de nous flanquer des blancs qui nous plongent encore tant qu'ils sont dans nos murs.
Des discours mal travaillés des Parlementaires et des proches du pouvoir, des flatteurs cherchant à se coincer aveuglement du côté de l'Exécutif pour être promus au détriment de la volonté populaire, oubliant leurs missions.
 Des bandes à pied, des fanfares qui se défilent, des écoles qui s'excèllent au rythme des chants patriotiques ne rimant à rien à l'intension de vénérer nos combattans, nos légendes vivant encore dans le coeur surtout des hommes haïtiens conséquents.
18 novembre 1803- 18 novembre 2011, 208 ans de deuils, de fauses promesses, d'insécurité, de lamentations... Rêves confus, idées confuses, des sanglots, Haïti en lambeau. Honneur et mérite pour sauver la nation qui pourtant, s'assit sur la selette; meurt de désespoir, de faim, de soif, d'enlèvement, d'injustice, de l'éducation médicre. Holas!
18 novembre 1803- 18 novembre 2011, 208 ans de trouble, d'asservissement, de MINUSTAH choléra, ''kadejakè'', ''pandyè'', ''violè'', ''mas ici'' ''mas lot bor'', '' kidnapè'', ''volè''; oh! que disons-nous de surcroît?
Qu'importe, les haïtiens doivent s'unir pour continuer la lutte entreprise par ses héros, pour rédiger un devoir d'espoir pour la nation en se livrant au combat dialectique. c'est alors que Vertières, le lieu saint de l'indépendance reprend ses idées à nous permettre d'être grands comme tout autre peuple. Crions ''à l'assaut''.

20/11/2011, Me BOLIVARD Delcarme.

mardi 22 novembre 2011

Photos du 18 novembre 2011


 En pleine fête de la bataille de Vertières, 18 novembre 2011, le peuple haïtien y apporte ses lots de misères.
Photo: E. Lacouronne.
 Dans l'enceinte de la Basilique de la Notre Dame de Cap-Haïtien. De gauche à droite: Hilaire Théodore (Directeur départemental de l'Education, branche Nord), Pierre Marise (Directrice du LNPG).
Photo: E. Lacouronne
Sans les Forces Armées d'Haïti, sous les férules redoutables de la MINUSTHA, le peuple haïtien honore les héros de l'indépendance.
Photo: E. Lacouronne

Quelle bataille de Vertières fêtons-nous!

               Par la conception de certains politiciens, la bataille de Vertièrs n'est pas un évènement qui survient du fruit d'un simple hasard; il s'agit d'une tension et d'un accomplissement à l'instar d'un Toussaint Louverture, d'un Dessalines... Ils ont hypnotisé la vantardise des blancs. Cependant, les haïtiens ne restent pas moins amoureux de cette grande bataille. Comment alors ne pas s'interroger sur la commémoration de cet évènement si important?
Tout comme après le 7 février 1986, la société haïtienne charrie tout un cortège de revendications: la jeunesse aujourd'hui a elle-même ses propres revendications, revendications justes et fondamentales. Il nous faut cesser cette pratique qui vise à réunir un bon nombre d'écoles (élèves) à la cathédrale les faire danser à travers les rues avec des fanfares gribouilleuses et où l'on pense faire une commémoration. Il faut le dire et le redire: " La bataille de Vertières n'est plus un discours autour d'une action".
Pire encore, avec la présence de la MINUSTAH soi-disant notre sécurité. Quel obstacle! les autorités de l'Etat qui devaient recevoir les élèves à la cérémonie sont considérés comme retardataires. c'est-à-dire, ils ne se souvenaient même pas de multiples efforts qu'ont consentis nos ancêtres. Ils se contentent de prononcer des discours populistes pour assurer ( garantir ) leurs pouvoirs.
Il est impératif pour le nouveau gouvernement, la jeunesse de notre chère Haïti, de s'engager sur des voies historiques pour mener au bon port la barque de la nation tout fragile qu'elle puisse être. L'observation de l'implication politique nous éloigne de cette tradition et nous conduit à nous interroger sur qui participe et pourquoi?
Quoi qu'il en soit, nous prédisons une nouvelle bataille qui permettra à nos concitoyens de prendre le temps de ressentir, de goûter et de respirer le charme unique de cette grande bataille.

20/11/2011, Mirlande Jean-Louis   

jeudi 17 novembre 2011

AU ROYAUME DES AVEUGLES LES BORGNES SONT ROIS, MAIS AU ROYAUME DES CHEVEUX ''GRENN'' LE ''TET KALE'' EST PRESIDENT SANS DENT

                  La politique haïtienne est la seule au monde qui accueille sous base sentimentale des dirigeants sans scrupules, indécents qui ne peuvent que mettre en dérision les rêves d’un peuple qui se voue au destin qui l’entraine.
L’indigence de grands courants d’idées marchandent en grande partie l’esprit du citoyen haïtien qui, nonobstant de sa position, se glisse sans protection sur la pente de l’échec. Cela semble infini, puisque tant d’années se sont déjà écoulées dans la rive de l’espoir d’un lendemain meilleur pour le premier peuple noir qui laisse passer sous les yeux toute sorte de bêtise au gré d’un nadir qui n’a aucune importance pour l’heure.
Droguée par des promesses fallacieuses tout au long de son existence, Haïti c’est la terre des rêves impossibles à concrétiser dans le rond cerveau de piètres hommes qui s’intronisent sur le pouvoir de la nation, coiffés d’un manteau de traitre dont la plus noble pensée secrète est celle de plonger ce misérable pays dans l’abime sans fin.
Par le mauvais choix des représentants qui ne peuvent même se présenter pour ce qu’ils auraient pensé être, la faiblesse d’une éducation fort médiocre de nature diversifiée, la dépravation d’une société drapée de corruption de la tête aux orteils, des désenchantements de la citoyenneté à la contribution durable et solide des progrès spirituels de l’être haïtien, les dirigeants s’ébattent sans pouvoir expliquer leurs attributions et leurs sens d’être.
Le pire est de constater l’enlèvement acceptable de la dignité, de la moralité, de l’orgueil positif, du sentiment d’un peuple victorieux qui a su guerroyer contre la duplicité incessante des adversaires qui nous tendent encore la main, nous humilient chez eux, nous effarouchent à cause de nos représentativités damnables.
Débaptiser Paul en l’appelant Pierre ne sert à rien au cas où l’on voudrait apporter au premier un peu de correction. Mais le changement de tempérament, de mentalité ; chose difficile non impossible, est le vrai travail à effectuer si l’on voudrait sauver l’intégrité de cet être.
Haïti en décadence politique, livrée à la médiocrité, au changement d’idées mal construites des dirigeants émotionnels, inespérés, victimes de l’infamie. Justice et injustice confondues, sécurité arrêtée, insécurité à l’esprit. Des réflexions infécondes, des hommes sans aveux qui ont un prix à payer à l’histoire pour le déchirement du pavillon national pour lequel de grands hommes sont partis à jamais.
Tous les secteurs s’impliquent et le respect surtout de l’Eglise s’abaisse pour avoir vu, constaté, entendu, observé voire participé à l’échec et l’effondrement de la patrie haïtienne. Ils ont tous un compte à rendre au temps présent et au futur. La vie les aura questionnés pour leurs déloyautés, leurs chaires seront dévorées par les idées des jeunes oubliés d’aujourd’hui. Vers s’y feront et gâteront sous une odeur fort désagréable.
Un peuple oublié dans les grandes décisions, trahi par ses votes ; marchons unis pour sauver le pays de ces marauds.  Mais hélas ! Un peuple qui n’est pas éduqué est frappé de cécité et en plein jour il tâtonne pour sortir et rentrer chez lui. Il peut tout accepter sans mot dire, c’est ainsi qu'au Royaume des aveugles les borgnes sont rois, mais, au Royaume des cheveux ‘’ Grenn’’ le ‘’ Tèt Kale’’ est président sans dent ; couronné du désir d’augmenter les peines du pays par un ensemble de décisions controversées qu’il ne peut réaliser sous l’égide d’une équipe composée des hommes féroces. Hélas !

9/11/2011
Me B .Delcarme   

mercredi 16 novembre 2011

L'IMAGE DU PARLEMENT HAITIEN

            Haïti est dotée d’un parlement bicaméral, c’est-à-dire deux chambres: la chambre des sénateurs et celle des députés dont la fonction est de légiférer, amender ou de réviser la Constitution, d’approuver et de rejeter des traités, des conventions internationales, de contrôler le pouvoir exécutif pour ces attributions.
Cependant, nos parlementaires donnent aujourd’hui qu’ils ignorent leur fonction. Ils adoptent des attitudes contraires à l’éthique ou qui n’expriment aucune valeur citoyenne, réduisant ainsi le parlement à sa plus simple expression, faisant de lui une honte pour la nation.
Si théoriquement la fonction des parlementaires est d’éthique ou politique, pratiquement ces derniers se comportent comme des médiocres, des mercenaires, des hommes dépourvus de dignité, de vêtu civique, qui ne défendent que leurs intérêts égoïstes, mesquins ou vénaux au grand mépris des intérêts supérieurs de la nation. Ainsi, constituent-ils des obstacles sur le chemin du développement du peuple haïtien, l’exposent aux railleries des nations sœurs.
En effet, Haïti est devenue la risée de la Communauté Internationale. Elle est décriée, méprisée partout en raison non seulement de sa pauvreté, mais aussi et surtout de la faiblesse de sa diplomatie due à l’immoralité et à l’incapacité de ses dirigeants à défendre ses intérêts dans l’Assemblée Nationale, la redonner son image de gloire ou brièvement, la faire renaitre de ses cendres.
Il est triste d’entendre des parlementaires exiger du pouvoir exécutif, contrairement aux prescrits constitutionnels, le partage des postes, des ministères. Qu’est-ce que cela veut dire? Où sommes-nous? Dans un rêve ou dans la réalité? Des parlementaires qui devraient garder leur distance par rapport à l’exécutif en vue de bien le contrôler, veiller à son orientation ; lui font au contraire l’obligation de les admettre en son sein, se partager les postes, les avantages politiques et socio-économiques au détriment de tout un peuple. C’est de la trahison, la violation pure et simplement de la confiance que le peuple haïtien a placée dans ces parlementaires.
De deux choses: que le parlement se reprenne ou qu’il s’éteigne!
Encre Journal propose l’abolition du parlement bicaméral et son remplacement par un Parlement monocaméral, c’est-à-dire, formé d’une seule chambre, celle des députés. Les départements sont divisés en communes, or, celles-ci sont déjà représentées à travers les députés, donc, la présence des sénateurs ne fait qu’augmenter les charges de l’Etat en matière financière.
Il propose qu’on ajoute aussi des critères académiques ou intellectuels aux obligations d’éligibilité et de nomination des décideurs du pays, que les parlementaires aient au moins une connaissance juridique s’ils ne sont pas avocats. Ainsi, commettraient-ils moins de bêtises.
Septembre 2011, Me Gary Chery Av. (Encre journal)

samedi 5 novembre 2011

''UNIVERSITE DU SOIR'' DE L'UNIVERSITE ROI HENRI CHRISTOPHE DU CAP-HAITIEN

           La réflexion et l’émission de sérieuses idées sont toujours l’œuvre de grandes études scientifiques conditionnées sans réserve avec l’évolution du temps. Par delà, l’esprit scientifique est né et contribue à l’émancipation de l’esprit de l’homme tout en lui permettant de se consacrer à la recherche pour qu’il puisse être un élément vital de son environnement.
A travers le monde entier, les grandes idées et réflexions mûres, proviennent à tout jamais des centres universitaires qui sont de véritables lieux de débat de toute sorte où les célèbres pensées s’affrontent au rythme de la progression des recherches scientifiques. C’est l’objectif de toute Université concourant à apporter de sérieuses solutions aux maux qui pourraient ronger une société.
A s’accrocher à ce grand élan de conviction, Université Roi Henri Christophe, la première du genre, se motive continuellement dans l’idée d’accompagner la jeunesse de la Nation haïtienne dans leurs études et surtout dans leurs décisions à prendre au sauvetage du pays.
Université Roi Henri Christophe (URCH) renouvelle consécutivement ses engagements et prête à conserver sa dignité pour être la première université privée d’Haïti en offrant ou adressant pour cette année, à la population estudiantine, une nouvelle section du soir, baptisée ‘’ Night University’
Quid Night University ?
Consciente de la faiblesse de formation de tout genre de la jeunesse du pays, considérant pleines de personnes qui ont entamé une course universitaire et s’y arrêtent au mi chemin, soit par un manque de moyens financiers soit par un manque de temps, vue la nécessité d’avoir un plus grand nombre possible de cadres bien formés pour prendre les rênes du pays ; l’Université Roi Henri Christophe se fait le devoir d’intellectuel et comme bonne source du savoir d’ouvrir ses portes en Janvier prochain pour accueillir tous ceux ou toutes celles voulant continuer leurs carrières universitaires.
Ainsi, Night University est une véritable occasion offerte par l’Université Roi Henri Christophe aux élites intellectuelles du pays notamment, celles du Cap-Haïtien de boucler en beauté et sur les chapeaux de roues leurs études universitaires.
Me BOLIVARD Delcarme

mercredi 19 octobre 2011

QUELLE COMMEMORATION MORTELLE DE DESSALINES!

              Le lundi 17 octobre 2011, marque les 205 ans de la mort de l'Empereur Dessalines, célébrés en la Basilique de Notre Dame du Cap-Haïtien sous la direction du Mon Seigneur Jacques Mary.
Au nombre de grands noms qu'Haïti a connus, s'affirme toujuours en premier rang celui de Dessalines pour s'être sacrifé à la donation de la Patrie haïtienne. Un nom symbolisant la détermination et le courage de tous les hommes haïtiens conséquents qui souhaitent ou rêvent de vivre dans un Etat libre et prospère.
L'ultime guerre acharnée pour l'indépendance nationale contre les soldats de Napoléon Bonaparte, a fait de Dassalines le père de la Patrie haïtienne pour avoir pris en charge la destinée d'un pays victime d'une férocité esclavagiste de plus deux siècles.
L'idée de trahison chez les humains est sans mesure dont les grands hommes sont toujours sous le poid. C'est le cas pour l'ennemi numéro un des blancs de se voir trahi par ses alliés pour une question de pouvoir, et c'est ce qui a permis la division du pays, bouleversé par des hommes avides du pouvoir.
Le lundi 17 octobre 2011, ramène la 205 ème année de la mort de Dessalines, une date pendant laquelle la Cathédrale de Cap-Haïtien accueille dès huit heures 30 A.M, des autorités locales, nationales, pour un TE DEUM qui semblerait mal planifié, d'une structure incorrecte, car, la population n'y répondait pas présente.
13 écoles seulement se font représenter, dont cinq secondaires et huit primaires sous un nombre incalculable des établissements scolaires de la place. Une chorale qui semblerait fatiguée par de hauts chants adressés au martyr Dessalines. Sans fanfare, les universitaires ne s'y présentaient même pas et une fin de messe sans cortège, sans défilé à l'honneur du père de la Patrie Haïtienne.
Présents en la circonstance, de manière respective, le Député de la commune de Cap-Haïtien, M. Kenston Jean-Baptiste avance que: ''Le pays est occupé... Nous devons avoir une armée professionnelle.'' Cette déclaration ne rime à rien pour plus d'un, car, encore que les blancs sont totalement bien vus par nos hommes de loi. Le sénateur Kely C. Bastien de son côté, affirme que: ''Dessalines est un exemple''. Pourtant, un Exemple qui n'est jamais pris comme exemple, protestaient quelques membres de la population.
La 205 ème commémoration de la mort de Dessalines est un autre échec pour tous les haïtiens conséquents. Un autre échec pour le Nord, pour les autorités locales. Et c'est aussi le premier des échecs pour ceux-là qui sont à peine intronisés aux pouvoir de la zone Septentrionale.

Me BOLIVARD Delcarme 

jeudi 11 août 2011

''LA PROFANATION DE LA CATHEDRALE DE CAP-HAITIEN DANS LA NUIT DE 6 AU 7 AOUT 2011''


A la recherche d’un être suprême qui, de par sa manière la plus intelligente; le ciel, la nature et la terre sont créés, l’homme parvient à s’organiser aussi à la création de la religion comme source première de l’identité du chemin par lequel il se livre à la rencontre de Dieu.
Des Eglises de toute sorte s’élèvent à la cime d’un unique but, celui qui consiste à inviter aux chrétiens à admettre l’existence d’un être dont la force est capable de leur aider en tout temps et en tout lieu.
Chacune de ces Eglises soutient et continue à avancer que leur culte se rapporte véritablement à la volonté divine, si bien que l’âme pécheresse de l’être humain est assujettie du commandement céleste et pourrait être saine ou mal saine selon la manifestation de la religion de son possesseur qu’elle est donc appartenue.
Pour la religion, de grandes guerres s’éclatent, des crises sociales incontestables, des pertes humaines considérables, entre autre, sont les conséquences d’une mésentente d’effarement qui désigne sous l’angle d’ignorance de la faiblesse spirituelle de l’homme.
Ayant eu le contrôle du vaste monde ecclésiastique, la religion catholique va donner naissance à toute une myriade de religions issues par de solides croisades sous les épées de contradiction, les flèches de haine et les balles assassines. C’était l’ère de la reforme de l’Eglise catholique que l’on croyait avoir été un moment de soulagement et une rupture considérable aux atroces idées véhiculées pour remédier les entraves.
La barbarie et l’ignorance du peuple haïtien le poussent souvent à se mêler dons des actes forts contraires à sa culture et à ses aspirations. Victime d’une éducation provenant en grande partie de l’étranger, oblige l’être haïtien à la méconnaissance de sa personne jusqu’à ce qu’il arrive à se crever.
Voila l’idée qui explique l’attaque ou le vandalisme de la Cathédrale de Cap-Haïtien, la deuxième ville d’Haïti, dans la nuit lugubre de samedi 6 au dimanche 7 Aout 2011 en prélude de la fête patronale de la Notre Dame du Perpétuel Secours. Le glas retentit de la profanation de ladite Cathédrale secoue les zélés fidèles catholiques qui se défilent au lendemain matin pour égrener leurs chapelets, chandail au corps; certains larmes aux yeux et d’autres peines à l’esprit constant avec amertume le dégât causé par des inconnus qui ont violé l’enceinte de la cathédrale sans rien avoir comme peur et regret.
Des statuts sont brisés, des saints sont renversés, l’auréole du saint sacrement fut jeté et le drapeau du Vatican qui sert d’union entre tous les catholiques, fut méprisé sous les pieds furieux des anticatholiques. Des effigies, des ornements, des fresques se jonchent sous les débris des objets qui font appel à la pitié du prélat de la Cathédrale.
Les chrétiens catholiques ne pouvaient cacher leur indignation face à un tel acte qu’ils qualifient comme une attaque à l’existence de cette religion. Pourtant, des tracs s’envolent et circulent au sein de la Cathédrale fin délabrée et vandalisée, expliquent que la religion catholique est assimilée ou victime d’hérésie et plus proche du vaudou; par leurs chants, leurs adorations, en un mot leur culte.
La violation de l’enceinte sacrée de la Cathédrale de Cap-Haïtien par des inconnus, rappelle les grands moments scandaleux des guerres pour la religion, surtout par la manière de posséder à la consommation de l’acte. Placée en face de la Place d’Arme au sein de laquelle de grands martyrs sont passés de vie à trépas, la Cathédrale de Cap-Haïtien devient un désert puisque les messes ne peuvent y chanter pour l’heure mais se réalisent en plein air aux yeux de toute la population concernée.
Un moment sombre pour les fidèles catholiques, tandis que bien menés par le Monseigneur Kébreau dont la verve religieuse n’a pas manqué d’assagir les chrétiens, se livrant en concert pour prier et chanter sous les auspices du grand Jéhovah à lui seul soit la gloire, l’honneur pour les siècles des siècles et le respect de connaitre les auteurs et le bien fondé de l’acte perpétré.

Par : BOLIVARD Delcarme

mercredi 3 août 2011

Un nouveau souffle dans le bassin du désespoir haïtien

UN NOUVEAU SOUFFLE DANS LE BASSIN DU DESESPOIR HAÏTIEN.
Loin de mettre à nu l’histoire d’Haïti pour une relance imposante, le principe veut qu’on accorde un grand  privilège au présent à la longueur de la société Haïtienne qui va à la dérive et semble piétinée sous le découragement des idées confuses. Hélas ! Sans le savoir, parfois avec tout le bon sens, le fils accepte de contribuer au départ infini de son père ou de sa mère enveloppée dans un linceul, en route pour le dernier jugement selon les saintes écritures.
Cette contradiction ou  la commission de cet acte combien odieux et piteux détermine en grande partie les prémices de la souffrance de notre chère Haïti Thomas. Méprisé par les expressions les plus épouvantables qui puissent exister, notre pays se voit injustement sur la sellette, larmes aux yeux, au visage enlaidi, attend tristement le sort qui lui est réservé d’une couronne d’épines sans pitié.
Il est clair de sauver quelqu’un qui est en détresse, voire de lui donner tout ce dont il a besoin afin qu’il reprenne courage et se rétablisse comme les veux du tout puissant. Voila la contribution d’un homme conscient de l’état de ses semblables.
Des hommes et des femmes dont le sang de l’Empereur Dessalines Le Grand, du premier noir Toussaint Louverture, du bâtisseur sa Majesté le premier et le dernier Roi d’Haïti, Henri Christophe,  jaillissent en leurs veines comme l’eau à la fontaine ; doivent se redresser, conscience en bandoulière sous le roulement impeccable du tambour de l’espoir, pour chanter à l’unissons un cantique de paix, de sécurité, de progrès, de stabilité politique et économique au lucre de la nation haïtienne.
Voila le soulèvement de l’étendard de la conscience nationale ; un rêve qui nous est combien cher. Oui, un rêve disons-nous, dont la mission consiste à placer Haïti sous un autre angle. C’est l’apport de la jeunesse formée d’une éducation fort robuste. L’Etat au service du pays par de bons plans répondant aux aspirations pluridimensionnelles de la nation haïtienne.
Ainsi, à l’attention de tous les haïtiens de toutes catégories et de positions sociales confondues, proposons-nous ‘’Encre Journal’’, une citadelle de connaissance enveloppée sous le drap d’actualités culturelles, politiques et autres ; face aux grands artistes, dans les  hits, pour le beau vieux temps, c’est le coin des amoureux, en kreyol anm. Voila l’ensemble des éléments qui constituent le nouveau sang soufflant dans le bassin du désespoir Haïtien.
Nous reconnaissons la valeur qu’il faut accorder à la communication à l’heure actuelle, pour quoi nous vous invitons chers lecteurs à prendre à cœur le contenu doucereux de ce nouveau journal qui se veut une source de l’érudition et la rénovation de la pensée haïtienne méritoire d’être considéré comme une boussole à la recherche artistique et scientifique.
Me BOLIVARD Delcarme  encre journal

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