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e mercredi 29 février 2012 ramène le huitième anniversaire de l’exil pour l’Afrique du sud, l’ancien président d’Haïti, Dr Jean-Bertrand Aristide. De retour au pays depuis en l’an 2011, reste assis dans sa maison privée à Tabarre pour observer le déroulement de la politique haïtienne qui ne va pas de bon train par la méchanceté des dirigeants, si l’on veut croire certains citoyens de la république.
Après sept ans d’exil du Dr. Jean-Bertrand Aristide, les partisans de ‘’fanmi lavalas’’, le parti politique haïtien le plus populaire, étaient dans les rues de certaines zones du pays notamment la capitale de Port-au-Prince et la deuxième ville du pays (Cap-Haitien). Il faut souligner que cette manifestation était pour les proches du parti d’exprimer à tout jamais leur attachement à un idéal politique qui, selon eux ne pourra jamais faiblir.
Ils ont pris plusieurs directions dans la capitale de Port-au-Prince et au passage, ils ont déchiré certaines photos du président en exercice pour donner un ‘’Pigga’’ (mis en garde) aux rimeurs faisant croire qu’une enquête est ouverte sur les dossiers du Dr. Jean-Bertrand Aristide.
En arrivant devant le parlement haïtien, les manifestants ont bénéficié du concours de quelques parlementaires ''lavalas'' qui ne pouvaient s’empêcher d’envoyer une note claire au président Michel J. Martelly concernant ses pièces qu’il devait soumettre à la commission changée d’enquêter sur la nationalité de certains hauts fonctionnaires de l’Etat haïtien y compris le chef de l’État.
A ce sujet, seul le pays est victime de toute sorte d’attentat et les autorités concernées ne font qu’augmenter leurs richesses au détriment de la nation.
01/03/12, BOLIVARD Delcarme
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